Infographie - Ferrari, pôle position de la rentabilité

🐎 Ferrari : en pole position de la rentabilité
Entre 2012 et 2025, la rentabilité de Ferrari surclasse celle de tous les constructeurs automobiles.
Sa marge brute se maintient autour de 50 %, alors que les constructeurs automobiles généralistes les plus rentables (Tesla, Toyota, …) atteignent 10 % à 25 %, et d’autres constructeurs ultra-premium (Aston Martin, Lamborghini, …) peinent à rentabiliser leurs opérations.

Comme le formulait Enzo Ferrari : « Nous livrerons toujours une voiture de moins que la demande du marché. »
1️⃣ Positionnement ultra-premium : rareté, désirabilité, prix élevés.
2️⃣ Maîtrise de la production : environ 13.000 véhicules/an.
3️⃣ Puissance de la marque : Ferrari vend une image avant de vendre une voiture.

➡️  Pour Ferrari, la rentabilité rime avec… exclusivité !

📊 Pourquoi Ferrari surclasse les autres ultra-premium ?
Alors que Ferrari a su conjuguer production limitée, maîtrise des coûts et puissance de marque, Aston Martin, Lamborghini, Bentley ou Rolls-Royce peinent souvent à atteindre des marges comparables, souffrant de volumes irréguliers, de coûts de production élevés et d’une dépendance à quelques marchés.


Cette communication ne constitue pas une proposition d’investissement. Elle a été réalisée dans un but d’information uniquement. Malgré le soin apporté à leur documentation et à leur rédaction, les propos, exemples, graphiques et références (à des indices, à des publications ou à des entreprises) sont susceptibles de comporter des erreurs ou des approximations. Cette communication ne présente donc aucune valeur contractuelle. Aucune des informations apparaissant dans le présent document ne saurait être considérée comme une offre de services ou de produits émanant de Finaltis, ni comme une recommandation, une offre ou la sollicitation d’une offre d’achat ou de vente de valeurs mobilières ou de tout autre produit d’investissement.
Finaltis rappelle qu'investir comporte des risques, notamment des risques de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

Suivant
Suivant

Infographie - Novo Nordisk, l’essor du GLP-1